Les femmes n'auraient
jamais dû avoir le droit de travailler
Il est temps de le reconnaître : les femmes sont globalement incapables
de s'adapter au monde professionnel. Qu'elles restent à la maison.
Après
la Seconde Guerre mondiale, les femmes ont investi le marché du travail en
nombre, accueillies à bras ouverts par des employeurs heureux de satisfaire à
leur devoir patriotique. Au cours des
décennies suivantes, beaucoup de ces femmes se sont révélées être des
professionnelles sérieuses et compétentes. Malheureusement, toutes n'ont pas
ces qualités. Loin de là.
Devant
la multiplication des cas de harcèlement entre collègues, de menaces sur des
subordonnés et de femmes abusant de leur autorité sur leur collègues masculins,
une seule conclusion s'impose : l'expérience du travail féminin a échoué.
Irresponsabilité
financière
Commençons
par une question d'importance: est-il seulement naturel que les femmes
travaillent? On sait, par exemple, que les femmes ne savent pas gérer leur
argent. Les entreprises dirigées par des
hommes s'en sortent mieux sur les marchés et
les hommes sont aussi meilleurs en investissements et en économies.
L'idée
d'une base biologique à cette irresponsabilité financière féminine a de quoi
mettre mal à l'aise. Mais avec leurs salaires bien plus élevés que ce qu'elles veulent bien admettre et
leur surreprésentation dans les écoles de commerce et les conseils d'administration,
les femmes ont joui de toutes les opportunités possibles pour réussir dans le
monde des affaires. En d'autres termes, les femmes profitent depuis des
dizaines d'années de programmes de discrimination positive spécialement conçus
pour elles.
Reste
que malgré tous ces avantages, non seulement les femmes ont failli à ces
attentes, mais elles ont aussi été responsables de la crise des subprimes, avec
arnaque d'investisseurs, liquidation de fonds de retraite durement acquis et
déclenchement de krachs dans le monde entier.
Et au
lieu d'apprendre de leurs erreurs et de leurs méfaits, elles se sont elles-mêmes
accordées moult bonus, avant de faire pression sur le législateur pour qu'il
n'empêche pas la redite d'une telle catastrophe. Nous devons nous poser cette question:
les femmes possèdent-elles des capacités intellectuelles suffisantes pour que
nous leur confions nos ressources les plus précieuses?
Pas
seulement débiles, mais aussi dangereuses
Mais
qu'on accorde aux femmes un généreux bénéfice du doute –tout cela pourrait être
bien davantage dû à leur incompétence qu'à leur malfaisance. Et si on limitait
simplement leur pouvoir managérial au lieu de les exclure purement et
simplement du marché du travail?
Malheureusement,
la réalité est cruelle: les femmes ne se contentent pas d'être débiles, ils
sont dangereuses. Une récente enquête fait état de 30% d’hommes ayant eu à subir des avances non désirées sur
leur lieu de travail, des faits qualifiables de harcèlement sexuel pour la
majorité d'entre eux.
Voici
une liste non exhaustive des secteurs concernés par un harcèlement systémique:
La parentalité, la justice, l’université, les domaines de soins, l’enseignement,
les services de garde et tous les services traditionnellement réservés aux
femmes. Nous pouvons multiplier à
l'infini les conférences et les tables rondes sur les «femmes de tel ou
tel secteur», mais quand comprendrons-nous que ce n'est pas «tel ou
tel secteur» le véritable problème?
Esclaves
de leur colère
Au
travail, les femmes sont trop émotives. Elles sont esclaves de leur colère, de
leur jalousie et de leur mesquinerie. Leur attention est volatile et elles sont
promptes aux crises de nerfs. C'est la faute aux hormones, que voulez-vous! Et ai-je déjà mentionné le problème du «harcèlement
psychologique constant» envers les hommes de leur entourage et les hommes en
général?
Bien
sûr, certains comportements féminins sont parfaitement inoffensifs –comme le
magasinage sans carte de crédit ou la pratique assidue de jogging conjuguée à un
régime draconien pour garder la ligne. Mais dans d'autres cas,
l'immaturité si «adorable» d'une femme –le goût pour les tweets acrimonieux destinés
à détruire la réputation d’un père, par exemple– peut se révéler réellement
dangereuse. Accorder de véritables pouvoirs aux femmes est simplement trop
risqué.
Il
faut le reconnaître, certaines femmes ont fait de leur mieux pour s'adapter au
monde professionnel, en s'interdisant par exemple de se retrouver en
tête-à-tête avec un homme. Et pourtant, encore et toujours, elles n'arrivent
pas à se contrôler : elles agressent, importunent, harcèlent, matent, menacent,
«plaisantent» et ainsi de suite.
Une faillite
qui aura engouffré des dizaines de millions de dollars en
frais de justice (fausse accusations, bagarre de garde d'enfants et bien sûr, faire main basse sur toutes les sources de revenus d'un père prétendument indigne) et fait des dizaines de millions de victimes. Réfléchissez aux
coûts financiers et émotionnels que nous aurions pu nous épargner si les femmes
étaient restés à leur place, c'est-à-dire à la maison.
Si
quelques perles rares sont capables de tenir en bride leur faible nature et de
se comporter convenablement au travail, il est temps de se rendre à l'évidence :
arrêtons les frais et terminons-en avec cette grande expérience.
Ma référence : Les hommes n'auraient jamais dû avoir le droit de travailler
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