Depuis samedi dernier, j’ai lu beaucoup de
textes « journalistiques » et commentaires sur différents groupes et
plates-formes de réseaux sociaux. Je
cherche à comprendre les différentes visions et surtout, je cherche la vérité.
Il apparaît évidents que les
médias ont ordre ou mission d’attaquer le groupe de La Meute, de façon subtile
et hypocrite, ou ouvertement avec la plus parfaite mauvaise foi, faute de
pouvoir établir de véritables reproches.
De leur côté, les politiciens de
tous les partis marchent sur des œufs et évitent le vif du sujet, c’est-à-dire
les enjeux qui sont le cœur de cette formation de citoyens. Plutôt que d’agir de façon responsable face à
une immigration illégale et/ou indésirable, ils nous gavent de mots vides de
sens tout en s’abstenant de simplement faire respecter les lois en vigueurs au
pays et surtout, en continuant leur œuvre de destruction du peuple Québécois et
Canadien.
Plutôt que d’entendre les
inquiétudes des citoyens, ils traitent quiconque s’opposant ouvertement à cette
immigration et à l’imposition de doctrines contraires à la démocratie de
raciste, de xénophobe, d’intolérant.
Face à des revendications légitimes des gens d’ici, ils n’ont que l’insulte
à la bouche, quand ce n’est pas la menace et l’intimidation.
Tiens justement, notre « bon
petit maire de Québec » disait la même chose, avec ses mots bien à lui,
mais qui vont quand même dans le même sens que La Meute. Serait-il soudainement devenu un extrémiste
de la droite?? Et oui, la vision de La
Meute, c’est pas mal ça.
Traiter les membres de La Meute
d’agents de l’extrême-droite relève d’une complète malhonnêteté intellectuelle. Même devant les évidences, les médias
continuent sur le même discours, comme pour convaincre le peuple que la seule
vérité possible est celle qu’ils prononcent. Et ça paraît bien de faire loger
La Meute à l’enseigne de la méchante extrême-droite. Ça fait vendre.
Pour les multiculturalistes de
tout acabit, pour les pro-mondialisation, pour les pro-immigration de masse,
l’identité culturelle est une faute grave, une tare mentale qu’il faut extirper
de force de nos pauvres têtes malades.
Faute d’avoir des arguments logiques et intelligents, ils attaquent les
droits fondamentaux de ceux qui restent debout pour leurs valeurs, pour leur
désir puissant de conserver leur identité, leur culture, leurs racines, leur
langue.
Pourtant, ces même mondialistes
« sans frontière » n’ont aucun scrupule à permettre aux étrangers de
faire imposer leurs propres cultures, tout en détruisant celle de la société
d’accueil. C’est ainsi que les accommodements religieux contraires aux lois en
vigueurs au pays deviennent des concepts acceptables puisque découlant du « pouvoir
religieux ».
De plus, ces mêmes « ANTIfascistes »
agissent exactement comme ce qu’ils prétendent combattre; le fascisme. Le fascisme est un
système politique autoritaire qui associe populisme, nationalisme et
totalitarisme au nom d'un idéal collectif suprême. À la fois révolutionnaire et
conservateur, il s'oppose frontalement à la démocratie parlementaire et à
l'État libéral garant des droits individuels.
Voici ici une belle description
de leurs actes.
Des antifas avaient prévu d’affronter La Meute à
Québec. Ils se sont butés à la police
Extrait : Les antifas ont utilisé la tactique black bloc : ils ont lancé des
projectiles et de la pyrotechnie à la police, qui a répliqué avec du poivre de
Cayenne. Certains antifas avaient eux aussi des bombonnes de gaz poivré. Ils
ont marché sur la Grande-Allée, bondée de touristes en ce dimanche ensoleillé,
et lancé des poubelles et des chaises de terrasse aux policiers.
Un manifestant antifa
a fracassé la caméra d'un journaliste du réseau Global et quelques individus
soupçonnés d'être des « collabos » de La Meute ont été sauvagement attaqués à
coups de poing et aspergés de peinture noire et de poivre par les antifas.
Tout le texte est la description
claire des actions d’une bande de terroriste (encore en couche-culotte) qui se
croient au-dessus des lois, au-dessus des droits d’autrui. Ils étaient prêts à en découdre avec n’importe
quel membre de La Meute ou de tout autre groupe aux idéologies
patriotiques. Ils ont fait du mal à des
gens qui leurs étaient totalement inconnus, gratuitement et sauvagement.
Voici un excellent texte, rédigé
par Monsieur Marco Leclerc, qui nous décrit une forme d’extrémisme mal comprise
et surtout, très mal évaluée par les gens en général.
Québec: La violence de l'extrême-gauche au grand
jour
EXTRAIT :
La gauche, championne par excellence de la
sémantique ainsi que du contrôle du discours populaire, aime à faire croire
qu'elle n'est que pacifique, vertueuse, humaniste, bonne.
Ses représentants sont convaincus qu'ils sont le bien
combattant le mal. Or la violence est bel et bien inscrite dans son ADN et il
faudra un jour que le politique le reconnaisse et agisse en conséquence.
Lors de la manifestation du 20
août 2017 à Québec, les fachos qui se disent « antifascistes » sont
venus crier leur haine de la culture québécoise et du peuple Québécois, à
grands coups de 2 X 4, à coups de bottes à cap d’acier, avec des bombes
fumigènes, des pièces pyrotechniques, etc. Ils ont attaqué des passants
non-impliqués, ils ont violenté des gens qui ne pensent pas comme eux, ils ont
vandalisé des commerces et les biens d’autrui, ils ont foutu le feu. Et ces mêmes personnes disent candidement
qu’ils manifestent pacifiquement? Ils se font donneurs de leçons? Ils sont surtout de bons prêcheurs;
« faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais »!
Voilà de quoi ils se sont rendus
coupables! Cette homme a été sévèrement
battu par des antifascistes qui se prétendaient « pacifiques ». Son crime?
Aimer son Québec, sa culture, sa langue et ses racines… et il souhaitait
rejoindre les membres de La Meute.
Jamais il ne me serais venu à l’idée, en tant
que patriote nationaliste (sans verser dans les excès des ultranationalistes) d’agir
de la sorte, de blesser des gens ou de détruire des meubles, de faire du
vandalisme, de mettre le feu dans les poubelles et d’attaquer les corps
policiers. Bref, je me demande encore
comment les élus peuvent nous comparer à ces débiles qui sentent encore le pipi
et la poudre pour bébé.
Et je crois sincèrement pouvoir
affirmer qu’il en va de même de la part des membres de La Meute. Personne n’est
arrivé armé, plastronné et prêt pour partir à la guerre.
La manif vue de l’intérieur
Pendant que les adeptes de Jaggi
Singh déversaient leur rage destructrice sur tout ce qui leur tombait sous la
main et sur les policiers et passants, les membres de La Meutes attendaient
patiemment que leur droit de s’exprimer soit respecté. Étaient présents
des hommes, des femmes, parents et grands-parents, des personnes âgées
et/ou vivant avec un handicap, des enfants également. Chacun y était pour ses convictions qu’il
sent bafoués par ceux qui prétendent gouverner ce pays, qui utilisent les fonds
publics prélevés à même nos salaires, pour ensuite les dilapider allègrement
dans des actions non-approuvées par ces payeurs de taxes, ceux-là même qui les
ont déposés sur les sièges du pouvoir.
Pendant que nous étions confinés
à l’intérieur, des gens arrivaient à obtenir des informations sur le grabuge à
l’extérieur. Nous avions un message à
passer et la violence n’en faisait pas partie.
Les fascistes destructeurs se faisant appeler les
« antifascistes » s’occupaient naturellement de la violence, c’est
dans leurs gênes.
Dans le sous-sol de l’Édifice G, sans
eau, sans sanitaire et sans nourriture, dans un environnement où l’air devenait
vicié faute d’une aération adéquate, j’ai vu des gens être obligés de
s’allonger sur le sol en béton suite à des malaises. J’ai vu des hommes et des femmes se
préoccuper de leurs semblables en prodiguant du soutien et des soins. J’ai vu une équipe de sécurité s’assurer que chacun
des participants soit en sûreté.
Les organisateurs de la manifestation ont été remarquables dans leurs choix d’agir en gens responsables d’eux-mêmes et responsables de plusieurs centaines de personnes. Ils se sont assurés de la cohésion du mouvement, ont rassuré ceux qui en avaient besoin et ont fait le nécessaire pour que tout se déroule dans le calme, la sécurité et le stricte respect des lois.
Lors de notre sortie sur les 18h, nous étions unis, nous étions déterminés et nous avons été en mesure d'exercer notre droit de parole... dans le silence. Un silence qui en a dit plus long que tous les cris et les agressions des groupes anarchistes refoulés en après-midi.
Maintenant je me questionne. Est-il raciste de souhaiter que des
immigrants soient en mesure de s’intégrer chez nous? Est-il xénophobe et raciste de refuser de
nous faire imposer des doctrines religieuses dans nos assiettes et dans les
services publics que nous recevons? Qu’y
a-t-il de mal à vouloir que la laïcité ET la neutralité soient respectées sans
condition?
De tous ces événements, je
retiens que la liberté d’expression, la liberté d’association, la liberté de
pensée sont maintenant des droits à géométrie variable selon qu’on est du même avis que
les gouvernements en place ou pas
Je retiens que les lois sont
applicables selon l’ethnie, la religion, les allégeances politiques, la langue
et la couleur. Si nous sommes
Canadien-Français idéalement Québécois, blancs et pour la laïcité, toutes les
lois, même les plus répressives, sont fortement applicables et les gestes illégaux envers nous sont
tolérables. Pour les autres, c’est moins
certains. Jaggi Singh et ses petits
soldats violents en sont un exemple évident.
Je retiens que de revendiquer la
protection des valeurs qui sont le fondement de la société québécoise serait
raciste, xénophobe et prouverait que c’est une immonde intolérance face à la
diversité, celle-là même qui souhaite abolir nos traditions, nos us et coutumes
et qui se donne le droit de faire changer les lois et règlements sous forme
d’accommodements en tous genres, au détriment du mieux-être de l'ensemble, de la majorité. Les minorités souhaitent faire loi et la gauche minoritaire n'hésite pas à violenter et culpabiliser les citoyens pour obtenir plus de droits, plus de subventions, plus de pouvoir, plus de tout.
Les frontières doivent être
respectées, c’est la loi. Mais si des
étrangers ne respectent pas la loi, ils sont accueillis à bras ouverts par les
élus et la police.
Dans tous les cas de figure, c’est
le monde à l’envers!
Nous payons des taxes et impôts
plus que partout ailleurs au pays, mais nous n’avons pas les services pour
lesquels ces fonds sont prévus. Mais
pour les étrangers, les soins médicaux, les soins dentaires, les logements sociaux,
les intervenants sociaux, tout leur devient acquis, facile d’accès et gratuit,
gracieuseté de nos gouvernements de bisounours gnan-gnan et multiculturalistes
(idéologie qui ne fonctionne pas et détruit les nations). Pendant ce temps, nous n’avons même pas les
moyens d’aller au dentiste et nous n’avons pas de médecin de famille. Nos aînés en CHSLD sont traités de façon
indécente, les aides financières aux familles aidantes sont coupées et les ressources
sociales sont en pénurie, l’éducation est nivelée par le bas et les droits
fondamentaux reculent inexorablement.
Suzanne Cantin
Fière membre de La Meute
Clan 17