mercredi 25 janvier 2017

La SAAQ ne dit plus "Monsieur" ou "Madame"

Non, mais franchement!  Sur la route, en entendant cette nouvelle à la radio ce matin, j'en ai perdue ma "clutch"!

La SAAQ interdit à des employés de dire «Monsieur» ou «Madame»

Dans l'art de nier l'existence même de la nature, on ne peut pas faire mieux.  Si je ne nie pas et ne rejette pas les transgenres, qui à mon avis, on le droit d'être ce qu'ils sont, il n'en reste pas moins que je ne vois absolument pas pourquoi la majorité devrait y perdre sa propre identité.

Pour une personne qui se sent insultée qu'on ne reconnaisse pas sa féminité, alors que même ses documents d'identification officielle sont au masculin, il faudrait que toute la société se vire à l'envers!  

Pour une personne qui ne souhaite plus se faire appeler "Monsieur", il faudrait que tous les "Monsieur" et "Madame" disparaissent!

Ensuite, on vient nous dire qu'il faut rester ouvert à la différence.  On nous serine que si nous avons des préjugés, nous sommes intolérants.  On exige de l'ensemble qu'il se diabolise, qu'il s'autoflagelle, qu'il se désincarne, qu'il nie son identité profonde.  Et on fini par nous demander pourquoi on en a marre???  

Je me le demande, Chose! Ce n'est pas de l'intolérance, c'est de l'écoeurantite aiguë! C'est pas qu'on ne les accepte pas, c'est juste qu'on n'a peut-être pas envie d'être effacés pour la minorité.  Ça me rappelle la crise de bassinette du mec aux cheveux bleus, avec une barbe de 3 jours, qui voulait accéder aux toilettes des femmes sous prétexte qu'il était transgenre et était (supposément) une femme! (NDRL : je vais faire une recherche pour retrouver le lien. Si quelqu'un le trouve, n'hésitez pas à me le partager. Merci)
  
Eille, ça me donne le goût d'aller faire un tour à la SAAQ de St-Hyacinthe, juste pour voir comment les employés vont s'adresser à moi.  Juste pour tâter le malaise ambiant et pour leur dire "Regardez-moi, je suis une femme et vous pouvez le souligner par un "Bonjour MADAME".

C'est bien dommage, mais la nature étant ce qu'elle est, même si les bien-pensants souhaitent totalement niveler les genres jusqu'à les faire disparaître et qu'ils rêvent d'une société "neutre", les principes naturels du masculin et du féminin existeront encore et toujours.  Et ce n'est pas parce que la nature s'est mélanger entre les hormones et le psychologique de quelqu'un, qu'il faut que tout le monde se transforme pour ne pas insulter celui ou celle (très minoritaire) qui "se sent différent".

Employés de la SAAQ, je vous plains sincèrement.  Pour ce qui est des dirigeants qui ont osé prendre une telle décision, d'un ridicule consommé, je vous souhaite des milliers de plaintes à traiter, pour le non-respect du gros bon sens!

En bon entendeur, salut!

Suzanne Cantin








dimanche 22 janvier 2017

The Red Pill - Une menace ou un message?



"The Red Pill" – Une menace ou un message ?

Samedi le 21 janvier, le film controversé "The Red Pill" était présenté au théâtre Rialto de Montréal.  Les groupes féministes ne souhaitaient pas que ce documentaire voit le jour et surtout, ne voulaient pas que le message passe.
                                                                                            
Article de Madame Sophie Durocher, Journal de Montréal :
 
« Je vous racontais que des féministes avaient tenté d’empêcher la diffusion du film à Ottawa, en Angleterre et en Australie. Je vous racontais que lors de la représentation à Ottawa, les spectateurs se faisaient traiter de nazis par les manifestants. »

Et voici ce que le groupe Facebook CLES-Concertation des luttes contre l’exploitation sexuelle ont pondu en collaboration avec une organisation de McGill.

« Contre les Machos au Rialto MRAs GO AWAY
NON À LA VIOLENCE ENVERS LES FEMMES
BOYCOTTONS LE THÉATRE RIALTO
(514) 770-7773 et (514) 268-7069

(NDRL : Du grand n'importe quoi!)

 
 
    


Je n’ai absolument pas vu ou entendu quoi que ce soit dans ce film, qui incite à la haine des femmes ou à la violence sous quelque forme que ce soit envers les femmes.  Pour ma part, je vois dans la réaction des féministes une alerte aux loups, violente et vicieuse à l’endroit des hommes.   Venant des féministes, ce n’est pas étonnant.  
                 

 Au grand dam des féministes et pour notre plus grand respect, Monsieur Ezio Carosielli, Président du Rialto, a signifié clairement sa position devant la hargne féministe.  Par son message clair, il a fait savoir que la présentation du documentaire aurait lieu, tel que prévu, démontrant ainsi son soutien à la démocratie et à la liberté d’expression.  De plus, une sécurité discrète mais très présente a été assurée, du début à la fin de l’événement.  Non seulement c’était très professionnel, mais ce fût grandement apprécié de la part de tous les participants.  En passant, c’était salle comble!

Toutes nos félicitations à l’équipe du Rialto pour leur ouverture et leur professionnalisme!

    

          

         "The Red Pill" est un film très bien documenté, structuré, par lequel nous sommes invités à suivre l’évolution de pensées de son auteur, Madame Cassie Jaye.  Au fil des rencontres qu’elle fait avec des hommes du regroupement pour les droits des hommes, le MRAs (Men’s Rignt Activist), Cassie Jaye nous fait découvrir sa propre découverte d’hommes sensibles, calmes, pondérés et… souffrants.

         Elle découvre la violence, le dénigrement, les abus et le désespoir que les hommes vivent dans une société où le féminisme agressif s’acharne à véhiculer une haine viscérale des hommes.  Un féminisme qui n’a plus rien à voir avec les droits des femmes, mais bien avec la haine du principe masculin dans son ensemble.

         Image à l’appui, nous y retrouvons des hommes confrontés à une réalité vivement et violemment niée par les mouvements féministes et tout bonnement ignorée par l’ensemble des gouvernements et services sociaux en place.

         Un documentaire à voir et à ENTENDRE.  Un film sur un sujet ultra-sensible puisqu’il dérange gravement une fausse image de pouvoir et de privilèges supposés de l’homme blanc, hétérosexuel et Occidental.  Une prise de conscience d’une grande portée sur le traitement profondément injuste et discriminatoire que subissent les hommes en général.

         Oui, les féministes ont de quoi avoir peur que cette vérité voit le jour.  Mais par leur manière d’agir, elles démontrent simplement que leur mouvement a traversé la ligne de l’égalité pour verser totalement dans l’opposé.

         J’ai rencontré sur place, Monsieur Benoit Perreault du CAFE (Canadian Association for Equality) https://en.wikipedia.org/wiki/Canadian_Association_for_Equality .  Au Canada, la situation des hommes n’est pas mieux que celle de ces hommes Américains.  Cet organisme œuvre dans le même sens que le MRAs, pour l’éducation des garçons, l’aide pratique en matière de violence, de troubles en santé mentale, de prévention du suicide, pour l’égalité des sexes et en matière de justice.  D’abord et avant tout, ils dénoncent les inégalités majeures entretenues par une société endoctrinée par le néo-féminisme.  En aucun moment, ce groupe n’incite à la haine des femmes ou l’encouragement de la violence envers elles.  Mais encore une fois, il y a un mur de sourds, soutenu par les puissants lobbys féministes, qui étouffe par la force l’avancement des actions d’aide pour les hommes.


Je souligne également la présence de Madame Lise Bilodeau, Présidente de l'ANCQ (Association de nouvelles et nouveaux conjoints du Québec) www.ancq.qc.ca . Cet organisme est implanté ici au Québec et sa mission  est de favoriser, après un divorce ou une séparation, l’équité quant aux conditions de vie des personnes ayant formé un couple marié ou vivant en union libre, et ce, dans le meilleur intérêt de l’enfant, si enfants il y a.

         Au final, "The Red Pill" est une œuvre de questionnement, de remise en question des dogmes établis dans la société Occidentale moderne.  C’est la dénonciation du résultat d’un dépassement et d’une dérivation déviante d’un féminisme radical, envahissant et destructeur, qui s’attaque directement à la moitié humaine de la planète, les hommes.  C’est la dénonciation de leurs souffrances au quotidien, malgré tous les efforts qu’ils font pour faire de notre monde un monde meilleur. 

         "The Red Pill" est devenu, malgré l’idée de départ de son auteur, une grande VOIX pour faire entendre « La Voix des Hommes ».  Ce film-documentaire est un message clair dénonçant la situation masculine, partout dans le monde.  La condition masculine doit être revue en profondeur et il est dans l’intérêt de tous de s’y intéresser et de faire en sorte de redresser la barre, afin de revoir les principes d’égalité dans toutes les sphères de vie, que ce soit en matière de justice, de famille, d’emploi, de soins, de soutien psychologique, etc.

Suzanne Cantin